Éric Derkenne fréquente l’atelier de peinture de La « S » Grand Atelier, à Vielsalm, de 1995 à 2011. Ses dessins au stylo-bille ou à la gouache saturés d’yeux, de nez, de bouches, tracés en quelques ronds aux mille traits, expriment une surprenante variété de sentiments. Derrière le monstrueux se cache une palette subtile : l’étonnement, la méfiance, le trouble, la honte, l’énervement, l’effroi, la crainte, l’interdit. Aujourd’hui il a cessé de travailler.